Pour la Cour de cassation, le harcèlement sexuel est nécessairement constitutif d’une faute grave
Dans un arrêt du 11 décembre 2024, la Cour de cassation a rappelé que des propos à connotation sexuelle tenus par un salarié à l’égard d’une collègue constituent un manquement d’une gravité telle qu’il rend impossible son maintien dans l’entreprise, justifiant ainsi un licenciement pour faute grave. En l’espèce, un salarié avait tenu des propos […]